C'est le petit frère de spider-man.
Non, non, non, ce n'est pas une araignée mais un écureuil gris - des centaines, en fait. Chaque arbre en abrite au moins un dans la région.
Je les adore, ils sont super mignons et rigolos. Tout le temps en action, en train de courir, sauter, manger... Dès que je les regarde, je pense aux premières phrases du roman Therapy de David Lodge :
Sa description est tellement juste (à part qu'ici c'est pas des marronniers mais plutôt des palmiers). En plus, quand ils se figent, ils agitent leur queue comme un toréro agite sa muléta.
C'est vraiment tordant, je ne me lasse pas de les regarder.
Hum, j'ai besoin de compagnie humaine ...
PS : cet article devait être publié il y a un mois, mais notre ordi a du subir une opération chirurgicale complexe (remplacement de mémoire vive) ayant nécessité une convalescence plutôt longue. J'avais sélectionné plusieurs photos pour illustrer mon billet, mais j'ai l'impression que cette opération lui a laissé une légère amnésie. Si je les retrouve, je ferai une mise à jour. Sinon, je, en fait Stéphane fera de nouvelles photos.
Non, non, non, ce n'est pas une araignée mais un écureuil gris - des centaines, en fait. Chaque arbre en abrite au moins un dans la région.
Je les adore, ils sont super mignons et rigolos. Tout le temps en action, en train de courir, sauter, manger... Dès que je les regarde, je pense aux premières phrases du roman Therapy de David Lodge :
"La douce journée de février a tiré les écureuils de leur hibernation. Les arbres dénudés du jardin leur offrent une sorte de terrain d'aventure. J'en ai observé deux qui jouaient à se pourchasser dans les marronniers devant la fenêtre de mon bureau : ils montaient en spirale le long d'un tronc, multipliaient les esquives et les feintes dans la ramure, filaient jusqu'au bout d'une branche pour bondir sur l'arbre suivant, dévalaient la tête la première et se figeaient soudain à mi-hauteur, griffes accrochées à l'écorce comme du Velcro, puis détalaient dans l'herbe, le premier tâchant de semer le second à force de louvoiements et virages bord sur bord, pour atteindre enfin le tronc d'un peuplier du Canada, gagner à la vitesse de l'éclair son branchage frêle et élastique, et s'y balancer doucement en équilibre, en échangeant des clignements d'yeux satisfaits. "
Sa description est tellement juste (à part qu'ici c'est pas des marronniers mais plutôt des palmiers). En plus, quand ils se figent, ils agitent leur queue comme un toréro agite sa muléta.
C'est vraiment tordant, je ne me lasse pas de les regarder.
Hum, j'ai besoin de compagnie humaine ...
PS : cet article devait être publié il y a un mois, mais notre ordi a du subir une opération chirurgicale complexe (remplacement de mémoire vive) ayant nécessité une convalescence plutôt longue. J'avais sélectionné plusieurs photos pour illustrer mon billet, mais j'ai l'impression que cette opération lui a laissé une légère amnésie. Si je les retrouve, je ferai une mise à jour. Sinon, je, en fait Stéphane fera de nouvelles photos.
Je me régale tellement à vous lire...
RépondreSupprimerTous les jours je clicquote sur votre blogue pour voir si vous avez écris un nouvel article... surement la nostalgie des US... qui à moi me manque...
Encore, encore...